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Comment s'y prendre?
Février 2018

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Très souvent, je reçois des messages comme quoi mes articles sont trop longs ou au contraire que je devrais les détailler plus. Comment s’y prendre pour contenter tout le monde ? Je sais que c’est difficile, voire impossible. Cette newsletter est donc longue avec une série de petits articles. Cela vous permettra plus facilement d’y revenir plusieurs fois.

Cette newsletter est issue de mes dernières expériences auprès de mes clients particuliers, entreprises, Startup, coach en supervision avec moi, coach utilisant MSV ou élèves en formation au métier de coach. Vous y découvrirez un article sur : La Transformation, comment s’y prendre ? Et un autre sur : La startup Matooma, une pépite citée par le Figaro économique : Comment s’y prendre ?

Elle est aussi issue de mon retour d’expérience au travers de mes contacts avec la presse. En effet, après la sortie de mon dernier livre, j’ai eu l’occasion d’être interviewé plusieurs fois. Les journalistes faisant un travail d’investigation pour apporter des réponses à leurs lecteurs, leurs questions indiquent une tendance et croyance du marché. J’ai dédié un article spécial sur ce retour d’interviews car ça permet de connaître la tendance du marché.

Vous y trouverez aussi le fruit de mon expérience au sujet de la vente de mon produit au format Campus Numérique MSV, Mieux Se Vendre en tant que Coach, à travers les réseaux sociaux et pour les coachs quelques informations qui j’espère vous aideront à mieux réussir vos ventes.

En conclusion, je me permets de vous livrer la chance que j’ai de vivre mon métier avec passion.

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I – LA TRANSFORMATION : Comment s’y prendre ?

La sortie de mon livre en Juin 2017 La Transformation des entreprises au service du XXI siècle, m’a permis d’être en contact avec des dirigeants du CAC 40 et de l’IBEX 35, et aussi des ETI, des PME et des Startup. J’ai d’ailleurs commencé l’année avec de nouvelles sociétés. Bien sûr, je dois aussi travailler ma patience quand je vois, parfois, le temps que perdent certaines entreprises à attendre pour se lancer car j’aimerai pour leur performance et le bien du XXI siècle que certaines aillent plus vite.

En fait, au travers de ces contacts et de mes actions en clientèle, je suis surpris de deux choses :

  • Les entreprises, leurs dirigeants, leurs salariés sont conscients que nous sommes dans une phase de transformation. Phase que j’aime appeler phase de transition entre l’ère industrielle et l’ère digitale. Ils sont surtout conscients que pour rayonner à l’extérieur de l’entreprise, il est urgent d’agir aussi depuis l’intérieur de l’entreprise. Ne rien faire ou faire peu est pire et assure la disparition à plus ou moins court terme de l’entreprise.
  • Ces mêmes personnes, ces mêmes entités, ces mêmes organisations même si elles en ont une vague idée, elles ne savent pas comment s’y prendre pour se transformer.

Une entreprise qui regarde son bilan en fin d’année, sait que ce n’est qu’une somme de petits détails qui fait la différence sur la ligne positive du bilan, la première conscience commence déjà par cette ligne du bilan. Comment prendre des décisions plus rapides ? Comment être plus souple et plus réactif pour nos clients ? Comment anticiper le marché, les demandes de nos clients ? Comment créer, innover et savoir s’adapter au quotidien ? Comment avoir des produits de qualités pour être fier de nous-même ? Comment avoir un coût de stockage inférieur ? Comment respecter nos engagements ? Comment capter des talents ? Comment garder les talents ? Comment attirer des jeunes ? Comment séduire de nouveaux clients, de nouvelles parts de marché ? Comment motiver nos collaborateurs pour être plus efficace ? Faut-il s’entendre bien pour gagner ou c’est parce que l’on gagne que l’on s’entend bien ? Comment gagner du temps ? Comment comment ?...

La conscience de cette transformation est liée à plusieurs facteurs que je détaille dans le livre et qu’ici je résume en deux facteurs :

  • Le facteur numérique. L’enjeu du numérique qui peut se traduire par exemple en dotant les commerciaux de tablettes, les magasiniers et la logistique de système picking 2.0, et/ou de blockchain, la fabrication ou le bureau d’étude d’imprimante 3D, d’outils big data pour prospecter, analyser, produire, créer, innover… a un seul et unique but : mieux servir le client pour être plus rapide, plus précis, plus proche de ses attentes, de ses spécificités et réaliser plus de marge. Ces actions créent un effet systémique à l’intérieur de l’entreprise : celle-ci doit savoir prendre des décisions plus rapides, doit savoir s’adapter au quotidien, ce qui est vrai un jour ne l’est plus le lendemain, doit constamment créer, innover et être précise.
  • Le facteur des habitudes : même si il reste beaucoup à faire, même si aujourd’hui les peurs semblent croissantes, l’ère industrielle a permis de créer un monde meilleur mais elle a tout transformé en procédures, contrôles qui inhibent la créativité, ralentissent la prise de décision, et elle se perd voire se paralyse dans toute cette analyse d’informations. Sans parler des systèmes de réunions qui sont un reflet local de l’ère industrielle : perte de temps, pas de prises de décision claires, des réunions qui se transforment en un joli tableau de productions à prolifération d’idées dont très peu voire aucune n’arriveront à terme et où la seule vraie décision est la date de la prochaine réunion, trop de gens en réunion, beaucoup de stress et d’angoisse qui génèrent aussi des conflits, ennuient, trop de réunions ou pas assez… que l’on a pour habitude de dire réunionite.

De ces deux facteurs il en découle une conscience systémique : le facteur numérique n’est plus en cohérence avec le facteur des habitudes. Il faut donc agir pour ne pas disparaître et la question est : comment s’y prendre ?

Pour y remédier, réfléchir à partir du cadre de référence de l’ère industrielle c’est réaliser des audits, revoir les échelles de valeurs de l’entreprise, réaliser des séminaires de réflexions avec les cadres dirigeants de l’entreprises, c’est créer de nouvelles procédures, de nouveaux systèmes de contrôles pour certainement rendre l’entreprise plus souple, agile, soit disant libérée. En fait, c’est faire à nouveau de la même chose et donc tourner en rond, et en plus, c’est très couteux, et, on n’a plus le temps ni les moyens.

Réfléchir à partir du cadre de référence de l’ère digitale c’est, comme le font les startups, passer de suite à l’action, tenter, se tromper, recommencer, tout chambouler… Partir de rien comme quand une Startup démarre est facile car il n’y a pas grand-chose à perdre et encore plus si des fonds d’investissements sont présents mais partir ainsi d’un passé existant c’est très risqué.

Dans cette phase de transition, l’enjeu n’est pas l’un ou l’autre mais bien l’un et l’autre de manière simple. C’est-à-dire commencer simplement par une approche locale à partir d’une équipe pilote pour lui permettre d’avoir localement un système de réunions où l’on retrouve les 4 piliers de l’ère digitale (la qualité des décisions, de la gestion du temps, des interrelations et de l’apprenance) puis par effet de capillarité propager ces nouvelles habitudes au reste de l’entreprise. Cette propagation se fait d’équipes en équipes, de dirigeants en dirigeants, de services en services. Selon la taille de l’entreprise, l’accompagnement de cette propagation se réalise grâce aux nouveaux postes/métiers créés comme Le Community Transformer®, et le coaching d’organisation. Agir ainsi va permettre au facteur des habitudes (on construit nos habitudes et nos habitudes nous construisent) d’être en cohérence et congruence avec le facteur du numérique. L’entreprise développe c’est deux concepts : du contrôle à la confiance et plus le leader donne du pouvoir, plus lui, son équipe et l’organisation ont du pouvoir.

En approche systémique on dit que c’est une action systémique du local au global : GLOCAL.

Selon l’enjeu de l’entreprise on peut aussi démarrer directement par un coaching d’organisation pour entrer et développer de plus en plus les aspects locaux.

Le GLOCAL est la solution. Et justement quand il y a une approche GLOCALE, très souvent l’entreprise revoit à partir du cadre de référence de l’ère digitale son système de valeur, son système de management, sa vision du marché, ses ambitions, ses priorités. L’entreprise pense autrement, décide autrement.

Au travers de mon expérience, je suis de plus en plus persuadé que les entreprises vont choisir l’approche GLOCALE. A partir d’un cadre de référence de l’ère industrielle, cette approche peut paraître complexe, elle est surtout beaucoup plus efficace et moins couteuse.

Quel que soit le type de démarche, je suis, aussi, surpris que les entreprises attendent que le coach apporte des thèmes de travail comme le ferait un consultant, un formateur ou un mentor. Justement le coach va agir avec son client avec ce qu’il est, ce qu’il fait, on va donc travailler durant vos réunions de travail, sur du concret, du réel, du mesurable, sur votre réalité du quotidien afin de transformer l’ensemble des préoccupations et ambitions en plan d’actions de qualité (qui n’a rien à voir avec la production d’idées à prolifération) en s’appuyant sur les 4 piliers des équipes performantes. C’est pour cela qu’il est plus efficace de choisir une équipe pilote où les résultats seront vite mesurables comme pour une startup.

 

Dans le livre, j’entre plus dans le détail du : comment s’y prendre ? Il est disponible sur Amazon. Je suis content de ses ventes puisque entre la version française et espagnole aussi bien au format livre ou kindle, il s’en vend en moyenne un par jour. Cliquer sur Amazon.

 

Si en tant que dirigeants d’entreprise, leader, DRH, vous souhaitez aller plus loin, contactez moi directement par téléphone ou Whatsapp ou messagerie au +33 682 69 70 83.

Si en tant que coach ou futur coach vous souhaitez avoir des informations pour être supervisé ou formé pour pouvoir permettre ces résultats et bien d’autres à vos clients alors contactez moi directement par téléphone ou Whatsapp ou messagerie au +33 682 69 70 83.  

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II – La Startup Matooma, une pépite : Comment s’y prendre ?

Matooma est une Startup de Montpellier spécialisée dans les services Telecom pour l’internet des objets. J’ai commencé à les accompagner quelques mois après leur démarrage en 2012 et sur plusieurs moments de leurs évolutions. www.matooma.com.

Aujourd’hui, elle fait la une de plusieurs journaux économiques comme Le Figaro, La revue économique Chef d’Entreprise Magasine car elle est considérée comme une pépite. Tout simplement parce que Matooma n’est pas valorisée à plus d’un milliard de dollars mais une Startup qui a réalisé en 2017 48% de croissance pour un chiffre d’affaire de 8 Millions d’Euros et surtout 1 million d’Euros de bénéfice, ce qui la place comme le dit Le Figaro dans la catégorie très restreinte des « jeunes entreprises à forte croissance » et rentables. N’est-ce pas la finalité de toute entreprise ?

En 2016, j’ai réalisé une conférence au Campus Google de Madrid et j’ai fait le constat que trop de Startups disparaissent ; même celles valorisées des millions de dollars. D’ailleurs ceci me fait plus penser à une bulle financière qui fait trop souvent le bonheur d’opportunistes financiers.

Alors en tant que Startup, PME et même ETI, comment s’y prendre pour perdurer et être largement rentable ?

Sur son compte Facebook, Frédéric Salles https://www.facebook.com/frederic.salles.92 , dirigeant de Matooma, a partagé les quelques mots que j’ai postés sur mon mur suite à la sortie de l’article dans Le Figaro : « Ces résultats ne sont pas le fruit du hasard. Bravo, tout cela est lié à cette alchimie que vous avez su créer entre la qualité de vos décisions, de vos relations, de votre relation au temps et cette envie irrésistible que vous avez de vouloir toujours apprendre, vous remettre en question pour mieux servir vos clients. C’est aussi lié à ta façon de donner de l’espace et du pouvoir à tes collaborateurs pour justement pouvoir être présent au devenir de Matooma. Je suis Fier de Vous et ravi d’avoir humblement contribué à votre aventure. Chouette équipe


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